Final Fantasy VII
Sans doute LE RPG de la PlayStation, cet opus a vu le jour en Europe le 14 novembre 1997, une date qui a marqué l’histoire du jeu vidéo. Malgré une traduction française des plus drôles de par sa médiocrité et un Cloud devenu Clad, ce volet reste l’un des meilleurs de la saga, peut-être même le meilleur. Premier titre à s’étaler sur trois disques, il proposait près de deux heures de cinématiques éblouissantes et des graphismes en 3D. Mini-jeux, invocations, matérias et limites venaient enrichir un gameplay en béton. Le système d’attaques est toujours basé sur l’ATB. Notons tout de même que la version européenne profitait d’un ajout de taille : Les Armes (Rubis et Emeraude). Des monstres extrêmement difficiles à battre qui ont pimenté et fait passer de nombreuses nuits blanches aux joueurs qui désiraient terminer le titre à 100%. De plus, FFVII met en scène un scénario mélangeant tous les sentiments qui ont fait le succès de la série, à savoir, amour, rédemption, trahison, etc., avec une intrigue haletante. La fin du titre laisse tous les joueurs avec de multiples questions qui permettent à tous d’imaginer une véritable issue. Les terroristes connus sous le nom d’Avalanche réussissent-ils à sauver la vie en détruisant tous les réacteurs Mako de la Shinra, une puissante société qui use et abuse du Mako, une source drainée du Lifestream ? Cloud va t-il découvrir toute la vérité sur son existence ? Qu’apporte la mort d’Aéris à l’histoire ? Tout autant de questions qui ne trouveront des réponses qu’en se plongeant dans le titre. Une immersion garantie qui permet de découvrir des héros au charisme impressionnant et un méchant, Sephiroth, des plus mystérieux. L’opus est tellement inoubliable que Squaresoft a réalisé des jeux et autres films dérivés. Un moyen de compléter sa connaissance sur ce FF VII tout en découvrant de nouveaux aspects du scénario.
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